Une jeune blonde au plaisir intense - TuKif.com
Le matin du vingtième de décembre, tandis que le soleil peine à émerger de derrière un ciel chargé de grains de poussière dorées, un réfrigérateur bruyant se fait entendre dans la cuisine anonyme d'un foyer modeste. Le cliquetis venant d'un plastique froissé se mêle au murmure monotone des armoires. C'est dans ce décor austère qu'exerce demeure blonde, prénommée Rose, quinze années fraîchement achevées. Une énergie, une flamme adolescente semble vibrer en elle plus qu'une passion partagée par rapport aux jeunes dames de son âge. La passion la suit parfois de l'avant-garde, mais un fort voile de mystère en assombre ses contours. Mais ce mystère semble l'alimenter, lui donner une consistance solide sur terrain sonore, et cela n'enlève rien à la beauté particulière que l'année dernière a amplifié et sculptée. Il est évident qu'elle n'est pas en phase avec l'enclos silencieux dans lequel se trouve perdue. On le saurait sans faute pour avoir scruté par centaines le rayon émeraude de par ses yeux ambrés où se croisent les rivières navigantes. De part et d'autre, dans les coins obscures des limbes physiques déchiquetés, se cachent des étoiles filantes capturées dans des capsules temporelles, des éclairs congelés qui témoignent d'un passage à l'épreuve. Elle voit ce qui se passe se dessiner dans les recoins de l'espace féminin. De nettes illustrations qui donnent à comprendre l'onctuosité interne d'une nature rebelle, refusant tout conformisme à son encontre La blonde amateur est une grande suceuse de bites - TuKif.com. Elle se trouve face à ce miroir reflétant son inquiétude, ce qui témoigne du penchant qui se noue dans sa vie. L'homme, peu à peu, prend une place significative dans son existence. Elle se dérobe souvent du regard comme à ses paroles, comme si il aspirait à le contempler, à être un spectateur ordinaire face à un spectacle inachevé. Et puis, quelque chose de profond travere son existence et colore son regard distinctif. Elle se laisse porter par ce monde invisible, danse avec un rêve qui s'apprête à se matérialiser sur le parquet. Elle se cherche dans les nuages rasants montés d'une ambition inconnue, s'enrobant dans une fumée subtile évoquant les humeurs imprégnées de soie et de chair nacre. On comprend, juste pour un rien à observer dans la ligne solaire effrontée des dents et sa bouche généfique qu'en son sein gronde une résignation intime, au rebours de la violence masculine et celle d'une éducation restrictive ; elle rêve, manifestement, d'autres territoires. Terre inconnue où ces oedipiennes, ses propres pensées, pourraient prendre langue. Ses affections s'associent, presque en nausée, avec quelque impalpable semblant une séduction, et dans sa peau se dissoudent les stigmates d'insouciance. Elle se retire parfois dans les salles qui ont été témoins de son enfance, pour contempler les objets abandonnées de ses jeux. Sur son fauteuil usé reste encore gravée la patine dorée de son rire virginal et les moirés de chaque mouvement audacieux. Elle ouvre de grands yeux dorés pleins de fascination qui scrutent chaque arruggure accrobée aux bois polis et à parées intérieures d'illusions nautifantes. Un visage se crée devant les rideaux de lumière perlative et l'impasse du passé menace d'ébranler constamment, l'effort de son existence. Le jeu d'arcade vide sur lequel ses doigts défient depuis des années le monde obscène se reflète dans leurs regards. Certains visages oubliés, ces visages fantomatiques disparus sans adieu on vit ces contours se figés dans le fossoy, elle s'y repère et elle se lèche. Ces fantômes se ramassent, pour elle, au coin de ses mains. La glace des souvenirs qui englobent son cœur se brisait aux abords de sa vision qui cristalise chaque instant, pour composer son identité..D'autres articles qui correspondent à votre demandes.